Qui n’a jamais reçu ce coup de fil alors qu’il avait «galéré» à prélever ? Cathéter qui ne monte pas. Tube qui ne se rempli pas. Veine qui éclate. Dépiquage accidentel entre deux tubes. Les raisons sont multiples… La victoire de ressortir du box ou de la chambre du patient avec les précieux tubes durement remplis vous inonde, mais le plaisir n’est que de courte durée, avant que le laboratoire ne vous rappelle pour annoncer la triste nouvelle. Mais en réalité ? Que se passe-t-il ? Une fois envoyé au laboratoire, le tube est centrifugé pour être analysé. Mais lors d’un prélèvement difficile (justement !), les éléments figurés du sang peuvent se détériorer et se maintenir en suspension dans le plasma et l'analyse est ininterprétable. Lorsqu’un prélèvement ne s’est pas déroulé dans les conditions idéales, il est recommandé de leur indiquer (en le notant sur le bon, par exemple).
>>> Pour en savoir plus, consulter le Bulletin N°17 : Les analyses sanguines